Homme gigolo disponible pour vous mesdames en toute discrétion partout en France.
Cet article de l’agence Novosti circule sur le web : La saison du tourisme sexuel féminin est ouverte dans les Caraïbes. C’est l’un des secteurs les plus florissants de l’industrie touristique de la région.
Selon les principales agences de voyages, environ 600 000 Européennes, Américaines et Canadiennes esseulées arrivent chaque année dans les Caraïbes à la recherche d’aventures romantiques avec des gigolos locaux qui proposent leurs services dans les petites annonces des anciens journaux coloniaux britanniques sous la rubrique “foreign service”.
Ce phénomène de tourisme sexuel féminin dans les Caraïbes est généralement pratiqué par des femmes célibataires ou malheureuses en couple, principalement d’un âge respectable. À la Barbade, ce phénomène est appelé “syndrome de la secrétaire canadienne” pour indiquer que les adeptes de ce type de tourisme sont principalement des Canadiennes et qu’elles appartiennent à la catégorie la plus basse de la classe moyenne des pays industrialisés.
Les experts en tourisme en Jamaïque ont observé que les gigolos fixent leurs tarifs en fonction des possibilités financières de ces “secrétaires”, à savoir 30 dollars de l’heure et 150 dollars la nuit. Si la cliente est satisfaite de la “prestation”, le gigolo accepte un supplément sous forme d’argent liquide ou de cadeau : une montre, un briquet, une chemise, etc. Dans les îles, les habitantes d’Ottawa passent pour être les plus généreuses. Quant au gigolo le plus recherché pour son professionnalisme, il est originaire de la République dominicaine.
Selon Kamala Kempadoo, professeur de sociologie à l’Université de Toronto, le tourisme sexuel féminin dans les Caraïbes continuera de se développer dans les années à venir, car le nombre de femmes célibataires et divorcées augmente constamment dans les pays industrialisés. Pour ce sociologue, le fait que les Caraïbes occupent la deuxième place dans le monde, derrière l’Afrique, pour la diffusion du sida n’est pas en mesure de freiner cette tendance.
Selon l’Organisation mondiale de la santé, plus de 500 000 personnes dans le bassin des Caraïbes sont porteuses du virus du sida, ce qui représente environ 3 % de la population adulte des îles.